Mais le 25 avril, un coup de théâtre est survenu. Dilma Rousseff a révélé qu'elle souffrait d'un cancer du système lymphatique et venait d'être opérée et de subir la première d'une série de six séances de chimiothérapie. Elle a été hospitalisée, mardi 19 mai, à Sao Paulo, après s'être plainte de douleurs aux jambes. Il s'agit, selon ses médecins, d'une réaction à son traitement. Son mal ayant été dépisté au stade initial, elle a 90 % de chances d'en guérir d'ici cinq ans.
La transparence dont elle fait preuve face à la maladie contraste avec deux fâcheux précédents : en 1969, l'attaque cérébrale qui avait frappé le général président Arthur da Costa e Silva ne fut révélée que trois jours plus tard ; en 1985, le président élu Tancredo Neves avait provoqué un traumatisme national en renonçant à sa charge, la veille d'être intronisé, après avoir caché la gravité de son mal.
"IL N'Y A PAS DE PLAN B"
arrogante, grosseira, etc e tal. Se confrotar seu passado de "glórias" contra a ditabranda,
teremos um cérebro perverso alocado no corpo de uma anomalia
genética que aprendeu a falar, roubar e sequestrar.
Dilmão é tão meiga como uma naja.
A raposa de Garanhuns, colou o Dilmão no PAC e nem usando toda
a grana da PTroRoubo, conseguiu alavancar a candidatura da
ex-terrorísta da VAR-PALMARES.
O triste disso tudo é que para o PT, o câncer deixa de ser
uma doença e passa a ser uma metáfora e a solução que poderá
viabilizar a camarilha no poder.
Princesa, rá rá
QUEM ACEITARÁ SER SEU VICE? POBRE BRASIL!
Nenhum comentário:
Postar um comentário